Dijonreiki

la vie

  • L’âme sœur

    1489367s8kybzdf3p 1« Même après plusieurs échecs et déceptions, combien d’hommes et de femmes s’obstinent à croire que ce n’est pas leur compréhension de l’amour qui est défectueuse, mais seulement qu’ils n’ont pas encore rencontré la personne qu’il leur faut… l’être idéal… l’âme sœur. Comme si le bonheur dépendait d’une rencontre que l’on fait par miracle ou par hasard ! Et voilà que ce n’est pas ainsi que les choses se passent. Sachez donc que l’âme sœur ne se présente pas comme un homme ou une femme que vous allez subitement rencontrer et pour qui vous aurez le coup de foudre. La rencontre avec l’âme sœur est d’abord un processus psychique par lequel la partie supérieure de votre être attire sa partie complémentaire. Vous devez avoir longtemps travaillé sur vous-même pour être digne d’attirer votre moitié divine, mais lorsque vous avez enfin établi le lien, vous sentez qu’elle est là, car elle habite en vous.
    Vous voulez vraiment rencontrer votre âme sœur? Ne partez pas à sa recherche, mais concentrez-vous sur la lumière : elle viendra d’elle-même, attirée par cette lueur qu’elle verra briller en vous. Vous ne savez pas où est votre âme sœur, mais elle, elle sait où vous êtes. Qu’il vous suffise de l’attendre intérieurement: elle viendra. »OMA

  • Élever son niveau vibratoire


    Élever son niveau vibratoire

    Tout vibre dans l'Univers ; pour reprendre la phrase d'Albert Einstein : « tout est énergie » ou « tout est vibration », TOUT est énergie, de l'infiniment petit à l'infiniment grand. Tout est vie dans l'Univers, donc TOUT est énergie et "état vibratoire"..

    Qu’est-ce que le taux vibratoire ?
    niveau vibratoire
    niveau vibratoire Le niveau vibratoire d'un être humain variant en fonction de son degré d'évolution spirituelle, nous avons tous la faculté de le modifier et le faire évoluer. En élevant notre taux vibratoire on participe à l'élévation du taux vibratoire de la planète, et par phénomène de résonance, toute la création terrestre tend à élever sa vibration et à l’ajuster avec celle de la planète.
    niveau vibratoire
    L'énergie nous constituant peut être mesurée de différentes manières. La plus couramment utilisée par les radiesthésistes consiste à employer un pendule pour mesurer les taux vibratoires en Unités Bovis (UB).
    niveau vibratoire
    Chaque être vivant possède son propre taux vibratoire, variable en permanence, qu'il soit rattaché aux règnes minéral, végétal, animal ou humain... Jusqu'à il y a quelques années, le taux vibratoire d'un humain était considéré comme "normal" lorsqu'il oscillait entre 6000 et 9000 UB. niveau vibratoire Depuis environ une dizaine d'années, on peut observer le taux moyen des humains augmenter, pour osciller entre 9500 et 10000 UB.
    niveau vibratoire
    Cette augmentation des taux vibratoires conduits essentiellement deux sortes de manifestations :
    niveau vibratoire
    • surexcitation pour certains, avec difficultés à se contrôler,
    niveau vibratoire
    • ouverture à d'autres états de conscience pour d'autres.

    Baisse du niveau vibratoire et ses conséquences
    niveau vibratoire
    Mais les baisses de niveau vibratoire sont aussi de plus en plus fréquentes et trouvent leur origine dans un mode de vie de plus en plus déséquilibré et en rupture avec l'évolution de la planète. Les causes sont multiples et concomitantes : alimentation industrielle, champs électromagnétiques artificiels, drogue, pensées négative, qualité de l'air, stress, tabac,...
    niveau vibratoire
    niveau vibratoire Actuellement, lorsque le taux vibratoire d'un humain franchit le seuil des 6000 UB et continue de descendre, l'être humain concerné commence à être affecté par les basses vibrations avec lesquelles il entre en syntonie et des dysfonctionnements physiques (maladies) peuvent se développer car son terrain y devient favorable. Plus son taux vibratoire descendra, plus il deviendra vulnérable aux maladies et autres dysfonctionnements du corps physique.
    niveau vibratoire
    Du fait que nous percevons toujours le niveau vibratoire des autres étant en syntonie avec le nôtre, il est facile de comprendre que si nous faisons chuter notre taux vibratoire, nous entrons de plus en plus en syntonie avec des êtres en souffrance, qui eux aussi vont contribuer à l'accélération de notre chute.
    niveau vibratoire
    Mais ne pas oublier que nous avons la faculté de maintenir notre taux vibratoire au niveau que nous souhaitons !

    Pourquoi remonter son niveau vibratoire ?
    niveau vibratoire
    En cas de maladie, de mal-être, l'une des premières choses à faire est de remonter son niveau vibratoire.


    écoute imaginaire
    Tout simplement pour être mieux, pour mieux vivre !
    Ne plus être accessible par des basses vibrations (énergies non-désirables).
    Retrouver la santé et s'y maintenir.
    Être en harmonie avec tous les plans composant notre être : physique, psychique, subtil et spirituel.
    Bénéficier d'un réel bien-être nous permettant d'accueillir le bonheur et la joie de vivre.
    Découvrir de véritables états de calme et de paix intérieure.
    Participer facilement à la libération rapide de toutes les énergies qui ne nous correspondent plus.
    Nous relier à notre être intérieur afin de retrouver le chemin de notre évolution.
    Nous faciliter l'accès et la manifestation de tout ce que nous pouvons souhaiter.
    Renforcer la connexion avec notre âme, afin d'entrer plus facilement en contact avec elle.
    Augmenter la "magie de la vie" : chance, synchronicités...
    Pouvoir entrer en contact avec des être d'un d'un niveau vibratoire plus élevé que le notre et nous rapprocher d'eux.

    Comment élever son niveau vibratoire ?
    niveau vibratoire
    Bien sûr, un thérapeute en soins énergétiques peut commencer à aider, en transmettant de l'énergie. Mais il est nécessaire que la personne concernée travaille sur elle-même. Pour cela, diverses attitudes, actions, pensées... peuvent aider à élever le niveau vibratoire :


    écoute imaginaire
    Rire
    Regarder des comédies, des spectacles comiques...
    Pratiquer le yoga du rire.
    Sourire
    Chanter une chanson que nous aimons, qui nous apaise, nous met du baume au cœur ou qui nous donne envie de danser, ou si nous ne sommes pas enclins à chanter, fredonner simplement des airs qui nous viennent spontanément en tête.
    Chanter
    Chanter une chanson que nous aimons, qui nous apaise, nous met du baume au cœur ou qui nous donne envie de danser, ou si nous ne sommes pas enclins à chanter, fredonner simplement des airs qui nous viennent spontanément en tête.
    Bouger
    Bouger permet de faire circuler l’énergie de notre corps et d’évacuer les tensions tant physiques que psychologiques.
    Marcher, danser, pédaler ! Faire du jogging, de la gymnastique, du yoga, du qi-gong, etc.
    Trouver une manière de bouger qui nous plaise afin de la pratiquer dans la bonne humeur et d’amplifier considérablement l’augmentation de notre taux vibratoire.
    Écrire
    Écrire chaque jour, 3 raisons qui font que nous sommes heureux, 3 choses pour lesquelles nous éprouvons de la gratitude
    Lister ses qualités, ses compétences (aide à reconnaître sa propre valeur et à augmenter l’estime de soi).
    Faire ce que l’on aime et/ou ce qui nous détend
    D’une manière générale, lorsque l’on prend plaisir à faire quelque chose ou que l’on se sent détendu, notre taux vibratoire s’élève !
    Faire des activités dans lesquelles nous sommes à l’aise nous permet de prendre davantage confiance en nous. Or la confiance en soi est aussi un facteur important pour l’augmentation du taux vibratoire
    S’amuser, se faire plaisir !
    Agir
    Lorsqu’on hésite à faire quelque chose, c’est qu’une peur (= basse vibration) nous freine ; pour la faire disparaître, agir est le meilleur remède.
    Le moindre petit geste peut engendrer de grands changements !
    Pensées positives
    Privilégier les pensées positives, les pensées élevées d’amour, de partage, de compassion est également un moyen d’augmenter son niveau vibratoire.
    Harmonie
    Être en harmonie entre nos pensées, nos paroles et nos actions, et pour chacune les exprimer en ayant conscience qu'elles sont l'émanation de nous-même et reflètent pleinement notre état vibratoire. Penser ce que l'on veut penser, non pas ce que les autres veulent que l'on pense. Dire la vérité, ce que nous pensons, ressentons et faisons réellement. Ne pas mentir, pour se cacher, pour éviter la honte ou pour éviter les critiques. Accepter d'être Soi !
    Voir le positif en toutes choses
    Quelques soient les situations que l’on rencontre, garder à l’esprit que tout arrive toujours pour notre bien et que nous sommes les créateurs de ces événements.
    Prendre conscience que tout ce qui nous semble tragique est là pour nous permettre de grandir et qu’en acceptant la situation, nous gardons les idées plus claires pour accueillir le positif à venir.
    Prononcer des affirmations positives
    "Je suis bien", "je suis heureux", "je suis zen"...etc.
    "La vie est belle", "tout est parfait"...etc.
    Se débarrasser des vibrations négatives
    Ne pas refouler les émotions négatives comme la tristesse et la colère. Laisser ces émotions passer, sans les retenir, en les acceptant et en les ressentant au plus profond de nous-même, puis en les exprimant. En les exprimant, mais sans les accentuer, elles finiront par disparaître d'elles-mêmes.
    Avoir de la gratitude
    Être reconnaissant pour tout ce que nous sommes et tout ce que nous avons.
    Remercier chaque jour pour notre chance permet de focaliser notre esprit sur ce que nous avons et donc de créer plus de chance dans notre vie et de réaliser plus de souhaits.
    S’aimer soi-même
    S’aimer de toutes les façons possibles : se respecter, s’écouter (écouter son cœur plutôt que son mental), se remercier, se féliciter, se faire plaisir...etc.
    Apprécier son reflet dans le miroir, se sourire.
    Ouvrir sa conscience
    Ouvrir notre conscience à toutes les possibilités et à toutes les opinions. Ecouter et accepter sans juger. Plus on s'ouvre à toutes les choses sans les critiquer-rejeter (que l'on n'y croit-adhère ou non), plus note conscience s'ouvre et cultive les diverses croyances-connaissances-opinions et plus notre "bibliothèque" s'agrandit. Nous possédons nos propres vérités, nous acceptons les vérités d'autrui et ainsi, nous aurons toutes les vérités du monde !
    Respirer consciemment et profondément
    La respiration consciente aide à rétablir la circulation de notre énergie vitale.
    Méditer
    Prendre conscience que l’on devient et que l’on obtient, ce sur quoi l’on médite. Méditer pour élever son niveau vibratoire est un travail sur Soi, conscient, d'affinage de ses perceptions.
    Voici un exercice simple que vous pouvez utiliser :
    1.
    écoute imaginaire
    Imaginez une lumière pure, aussi pure que vous pouvez le concevoir.
    2. Laissez-la entrer en vous, visualisez cette lumière avec autant de réalité que possible. Efforcez-vous de la créer, de lui donner vie, de ne plus seulement l’imaginer. Lorsqu’elle entre en vous, par la tête, la lumière vous purifie. Elle ne se charge pas de vos basses vibrations, elle est trop pure pour cela, mais elle vous débarrasse des vôtres.
    3. Laissez cette lumière descendre, ressentez la bienveillance en elle à votre égard. Voyez comme elle se diffuse à travers votre être et en dépasse les frontières, parce qu’elle rayonne pour l’instant, bien plus que vous ne le pouvez.
    4. Lorsque vous êtes empli de cette lumière, profitez de sa chaleur, de sa pureté aussi longtemps que vous le pouvez.
    5. Lorsque vous sentez qu’elle vous fuit, prenez le temps de l’accompagner, de la faire sortir en douceur, en vous sentant plein d’énergie, de sensations nouvelles, fines, précieuses.
    Prononcer le son OM / AUM
    Le son OM est le son originel et universel.
    Il émet une vibration très puissante qui peut nous aider sur notre chemin de guérison et de paix intérieure.
    Demander
    Demander à son âme, à l’Univers, à Dieu, à la Lumière, à l’Energie divine, à son ange gardien, à la Flamme Violette, etc. d'être aidé à rehausser votre niveau énergétique.
    Quelles que soient nos croyances, nous pouvons demander de l’aide aux mondes invisibles en émettant le souhait qu’ils nous purifient, qu’ils nous rechargent ou simplement qu’ils augmentent notre taux vibratoire.
    Entrer en contact avec Mère Nature
    S’émerveiller devant tout ce que la nature nous offre.
    L’observer avec attention, amour, respect, bienveillance...
    L’écouter (le chant des oiseaux, le vent dans les arbres, etc.).
    Sentir ses odeurs (parfum des fleurs, de l’herbe après la pluie, etc.).
    Manger sainement
    Privilégier une alimentation vivante (fruits, crudités...) et de préférence biologique, de produits frais, de saison, de la région... de préférence crus ou faiblement cuits (par exemple : cuisson à la vapeur douce).
    Éviter la viande qui conserve les mémoires de l'animal, notamment les peurs qu'il a ressenti lors de l'abattage. Ces énergies négatives pénètrent ses chairs, y restent inscrites (même après cuisson) et sont ensuite absorbées dans votre organisme lors du repas.
    Boire de l'eau énergisée
    Pour cela, il est possible d'avoir recours à un magnétiseur ou d'ajouter un peu de jus de citron bio dans une bouteille, puis de l'agiter fortement. Il est également possible d'obtenir de "l'eau solaire", très énergisée, en plaçant l'eau dans une bouteille en verre, en plein soleil, ou encore de placer la bouteille près d'une coquille Saint-Jacques afin de bénéficier de l'effet de ses ondes de formes.
    Améliorer la qualité de l'air que nous respirons
    Pour cela, respirer de l'air ionisé négativement est excellent. Nous pouvons en bénéficier naturellement auprès de la mer, de cascades... Dans les habitations, il est possible de mettre en œuvre un ionisateur, une lampe de sel...
    Vivre dans un lieu de vie présentant un excellent niveau vibratoire
    Pour maintenir un taux vibratoire correct, il est important que celui de notre lieu de vie le soit aussi. En effet, si notre habitat contient des vibrations basses, notamment dans les lieux où l'on stationne le plus longtemps : lits, bureau, canapé... il contribuera à la diminution de notre propre taux vibratoire. En cas de doute, faire appel à un géobiologue.
    De grandes ouvertures permettant à la lumière solaire de pénétrer aisément dans l'habitation sont à privilégier.
    Champs électromagnétiques
    Supprimer toutes sources de champs électromagnétiques inopportunes, telles les connexions WiFi pour le téléphone, l'internet, le son... ainsi que les fours à micro-ondes...
    Se rendre dans un haut lieu énergétique
    Pour maintenir un taux vibratoire correct, il est important que celui de notre lieu de vie le soit aussi. En effet, si notre habitat contient des vibrations basses, il contribuera à la diminution de notre propre taux vibratoire. En cas de doute, faire appel à un géobiologue.

    Bon travail sur vous-même maintenant !

    Jean-Paul Thouny
    Thérapeute énergéticien, Voiron (Isère) France
    Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source : www.energie-sante.net

  • Le pouvoir des plantes

    358491m5maty0ri4Un site pour vous informer sur les propriétés de chaque plante

    Une véritable mine d'or.

    ICI

  • Utilisez-vous la culpabilité comme arme?

    1237689mo39h49wreVous êtes-vous jamais tourné vers un être cher pour lui dire : « Si tu m’aimais, tu le ferais » or encore, avez-vous jamais terminé une phrase par : « Ne te fais pas de soucis pour moi. », accompagné d’un grand soupir? Si cela vous est déjà arrivé, vous pourriez bien utiliser la culpabilité comme une arme. Se servir de la culpabilité peut vous faire obtenir ce que vous voulez à court terme, mais c’est une tactique dangereuse qui va miner votre relation et vous priver de l’intimité que vous avez avec votre partenaire.

    Utiliser la culpabilité contre votre partenaire détruit l’intimité en mettant l’amour au conditionnel. Si vous manipulez votre partenaire avec la culpabilité, vous lui dites en d’autres termes, qu’à moins que les choses se fassent à votre idée, vous allez cesser de l’aimer. Vous vous propulsez dans une position de pouvoir qui ne peut se maintenir qu’en mettant l‘autre dans une position inférieure. La culpabilité attaque à la fois votre partenaire et votre relation.


    1. Comment la culpabilité s’installe? Le déclenchement de la culpabilité chez votre partenaire prend souvent la forme de propos tels que : « Si tu m’aimais, tu le ferais » ou « Je ne vois pas pourquoi tu ne pourrais pas... ». Ces deux phrases sont en fait des conditions que votre partenaire doit remplir pour être accepté par vous et pour mériter votre amour. En donnant des conditions de cette manière-là, vous dites en d’autres termes : « Je ne crois pas que tu m’aimes. Donne-moi des preuves de ton amour. » C’est une attaque dirigée contre votre partenaire qui va l’obliger à recommencer sans cesse depuis le début et à vous prouver leur amour.


    2. La culpabilité détruit la confiance. La culpabilité attaque une personne avec l’intention de faire du mal. C’est une mesure disciplinaire ayant pour motif de faire souffrir afin que l’autre personne change son point de vue ou son comportement. Comment pouvez-vous espérer que votre partenaire mette sa confiance en quelqu’un qui le blesse intentionnellement? Il est impossible de vivre une relation saine sans confiance, parce que la confiance permet de créer un environnement où l’intimité peut s’établir. C’est le fondement nécessaire à l’honnêteté, à l’ouverture et à la vulnérabilité. Vous ne pouvez pas développer une intimité émotionnelle avec quelqu’un dont vous êtes obligé de vous défendre.


    3. La culpabilité refuse de pardonner. Une des manières les plus douloureuses de blesser votre partenaire avec la culpabilité consiste à faire remonter d’anciennes blessures et d’anciennes erreurs. Peu importe ce que votre partenaire a fait dans son passé et à quel point il est désolé de l’avoir fait, il n’y a absolument rien qu’il puisse faire maintenant pour l’enlever. Faire remonter des choses du passé est un moyen cruel de punir quelqu’un. En ce faisant, vous choisissez de le torturer continuellement et de l’empêcher de s’en libérer. Aimer quelqu’un requiert de pardonner le passé et de le laisser aller. Si, honnêtement, vous ne pouvez pas surmonter quelque chose qui s’est passé, alors vous ne pouvez pas être en relation avec cette personne. Ca ne peut tout simplement pas marcher.


    Pourquoi utilisons-nous la culpabilité?

    Se servir de la culpabilité n’est jamais un acte d’amour. C’est toujours un acte de violence. Cela peut se faire passer pour de « l’honnêteté brutale », mais vouloir se servir de la culpabilité, c’est vouloir blesser, meurtrir et faire céder. Peu importe ce que nous recherchons, la culpabilité vise à faire souffrir l’autre personne. Alors, pourquoi nous en servons-nous?

    Nous recourrons souvent à la culpabilité quand nous nous sentons menacée, non aimée ou non valorisée. Il se peut que nous nous sentions vulnérable à cause de quelque chose dans la relation ou dans notre passé. C’est alors que nous nous servons de la culpabilité pour essayer de regagner le contrôle de la situation. Malheureusement, se servir de la culpabilité ne nous donnera jamais de que nous recherchons réellement. Car, au lieu de construire l’intimité à laquelle nous aspirons, attaquer notre partenaire avec la culpabilité nous éloigne l’un de l’autre.


    Dans une relation saine, il n’y a pas de position de pouvoir. Chacun des partenaires est sincèrement intéressé dans le bien être de l’autre, et il n’y a donc aucune raison de se sentir menacé ou de craindre des attaques. Chacun des partenaires peut être ouvert et honnête dans un environnement sans danger où ils sont valorisés et respectés.

    Mettre la culpabilité au passé

    Si vous vous rendez compte que vous utilisez la culpabilité comme une arme dans votre relation, la réponse au pourquoi vous l’utilisez se trouve en vous-même, pas dans votre partenaire. Demandez-vous pourquoi vous vous sentez menacée dans cette relation. Y a-t-il quelque chose du passé que vous ne pouvez pas pardonner? Avez-vous de bonnes raisons pour craindre quelque chose? Avez-vous des difficultés à croire les autres? Souffrez-vous d’une faible estime de soi? Avez-vous l’impression que la relation évolue trop rapidement? Prenez le temps d’analyser la cause de votre peur et demandez-vous :




    -
    Cette relation en vaut-elle la peine?

    - Est-ce que je l’aime réellement?

    Est-ce que je veux être dans cette relation?

    Qu’est-ce qui me retient?

    Si c’est votre partenaire qui se sert de la culpabilité contre vous, cherchez à savoir pourquoi vous vous laissez traiter de cette manière. L’amour n’est pas censé faire mal. L’amour n’est pas censé vous faire sentir toute petite. Si vous avez fait quelque chose de mal dans le passé, cela n’autorise pas votre partenaire à vous le reprocher ad vitam aeternam. Cela peut vouloir signifier que vous ne pouvez pas être ensemble, mais il vaut mieux être seule que dans une relation abusive. Si vous avez l’impression que vous méritez d’être traitée de cette manière, je vous encourage à consulter un psychologue et à chercher pourquoi vous ressentez cela.

    Une relation vaut la peine d’être vécue seulement quand les deux partenaires sont libres d’être qui ils sont. Vous ne pouvez ni aimer, ni être aimée, dans un environnement où la culpabilité est utilisée comme une arme. L’amour ne pourra pas tenir la route bien longtemps. Une intimité émotionnelle ne vient pas seulement parce que vous êtes en relation avec quelqu’un. L’intimité, comme la confiance, a besoin d’être construite. Cela implique des choix conscients et des efforts de la part des deux partenaires. Mais le jeu en vaut la chandelle. 

    Claire Colvin

    http://www.lespasseurs.com

  • Rencontre Reiki été 2014

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    Pour des raisons indépendantes de notre volonté cette rencontre est annulée pour le mois de juin.

    A voir sur d'autres dates.

    Bonjour à tous

    A la demande générale nous organiserons cet été à Tréclun, une rencontre Reiki.

    Cette rencontre est ouverte bien entendu à vos familles.

    Comme d'habitude nous apporterons un plat salé, un sucré pour le partage.

    Le rendez vous est fixé à 10h le dimanche matin.

    Nous sommes à votre écoute pour le programme de cette journée.

    Veuillez nos indiquer sur cette page  en commentaire ,vos disponibiltés de dates et dans ce commentaire votre désir de participation.

    En cas d'un nombre insuffisant de participants nous annulerons à notre grand regret cette rencontre.

     

    Dates prévues pour la rencontre tout le mois de juin (sauf 8 juin) ou tout le mois de août.

    Faites le, assez rapidement, car nous devons mettre des stages en place.

    Merci à vous

    reikidialement

    Hugues et Marina

    A l'heure actuelle (si dates correspondent) seront présentes les personnes:

    Céline, Suzy, Ambre, Nelly, Christine, Suzanne, Jenny, Marie-Jeanne, Sauveur, Eric, ... ♥ ♥ ♥

    Lire la suite

  • Quand l'attachement à sa maladie empêche de guérir

    2909712gnya5lwovwQuand l'attachement à sa maladie empêche de guérir

    Être malade, ce n'est jamais agréable. Et pourtant, on peut trouver dans une maladie, même grave, des avantages indéniables.

    Lorsque les avantages à être malade sont supérieurs aux inconvénients, cela peut même empêcher de guérir. En effet, une partie de nous peut refuser la guérison.

    Un bénéfice secondaire est donc une sorte d'avantage collatéral !

    En voici un exemple raconté par Anne Ancelin Shützenberger dans son livre « Vouloir guérir ».

    Une femme souffrait d'un cancer et allait de rechutes en rechutes. Quand son médecin lui parla de bénéfices secondaires, elle répondit :

    - « Mais les bénéfices secondaires dans la maladie, je n'en ai pas ! Ce que vous me demandez est affreux ! Je suis venue vous voir justement parce que je veux guérir ! »

    Le médecin insiste.

    - « Non, vraiment aucun bénéfice secondaire ? »
    - « Non. »

    Le médecin insiste encore une fois.

    - « Quel est l'avantage et le bénéfice de votre maladie ? »
    Dans un murmure, cette femme répond :
    - « Quand je suis à l'hôpital, que le diagnostic est mauvais et que je suis opérée, alors ma soeur vient me voir. C'est le seul moment où elle n'est pas jalouse de moi ! »

    Et elle se met à pleurer.

    - « Ma soeur a vraiment des sentiments totalement positifs à mon égard lorsque je suis mourante, et uniquement lorsque je le suis ! »

    On peut se demander pourquoi le médecin insiste-t-il autant ? À quoi cela sert-il de torturer cette femme gravement malade ? En fait, il s'agit évidemment de l'aider !

    En effet, un bénéfice secondaire peut nous empêcher de guérir, allant en cela contre nos désirs conscients. C'est comme si un fil nous attachait à la maladie et refusait de lâcher. Le rôle du médecin est alors de nous aider à couper ce fil, à le détricoter pour qu'il permette de nous libérer de la maladie, quelle qu'elle soit.

    « En quoi suis-je attachée à cette maladie ? »
    Quand la maladie a l'air de s'installer, nous pouvons d'ailleurs, même sans l'aide d'un médecin, nous poser nous-même une question : « En quoi suis-je attachée à cette maladie ? »

    La réponse peut se révéler extrêmement intéressante comme dans l'exemple cité : « Cette femme a travaillé sur ses sentiments, sur l'ambivalence familiale. Elle n'a plus besoin d'être mourante pour avoir de bons rapports avec sa soeur ! Elle s'est stabilisée et améliorée. »
    Les bénéfices secondaires sont inconscients

    Les bénéfices secondaires peuvent être très divers selon la personne. Il peut s'agir de rendre l'entourage enfin attentif, de voir plus souvent un enfant qui vous délaissait, de lâcher des responsabilités qui vous pesaient, de ne plus être obligé de travailler dans un contexte qui vous déplaisait, etc.

    Attention, ces bénéfices secondaires ne sont pas à l'origine d'une stratégie pour rester malade ! Bien au contraire, ces bénéfices sont inconscients, la personne malade ne se rend pas compte que quelque chose l'attache à sa maladie. Il lui faut un travail pour en prendre conscience et s'en détacher.

    Explorer en soi ces bénéfices est un pas vers une guérison plus facile.

    Mis à jour par Dr Catherine Solano - médecin sexologue le 26/02/2014
    Créé initialement par Dr Catherine Solano - médecin sexologue le 28/11/2005

    Sources : " Vouloir guérir " de Anne Ancelin Shützenberger aux éditions la méridienne Desclée de Brouwer.

    Les 9 types de bénéfices secondaires qui nous empêchent de résoudre nos problèmes... (par Marc Vachon)

    Les problèmes n'ont pas que des inconvénients "conscients". Ils ont aussi des avantages "inconscients" qui s'appellent des "bénéfices secondaires". C'est à cause d'eux notamment que l'on a tant de mal à résoudre nos problèmes... Découvrez les bénéfices secondaires de vos problèmes et vous commencerez à y voir plus clair...

    On a souvent tout intérêt à se coltiner inconsciemment un problème...

    Nos intérêts indirects et inconscients liés à un problème, ce sont les bénéfices secondaires du problème.

    Les bénéfices secondaires se recoupent, s'entrecroisent et se mettent souvent à plusieurs pour nous freiner dans notre démarche de résolution de problèmes...

    Ce concept Freudien de "bénéfice secondaire" ne date pas d'hier.

    En revanche, une liste des types de bénéfices secondaires n'existait pas jusqu'à ce jour...

    En voici ma version : une liste des 9 types de bénéfices secondaires.

    Cette liste permet la résolution de problèmes par "l'approche des types de bénéfices secondaires".

    Faites l'exercice :

    Parmi les 9 types de bénéfices secondaires suivants, essayez d'identifier celui ou ceux qui correspondent à votre problème...

    Votre problème commencera alors à se résoudre...

    - l'habitude = mon problème est une habitude rassurante par rapport à l'inconnu qui me fait peur...

    - la loyauté = mon problème me rend loyal et fidèle à mon passé, à mes ancètres,...

    - l'exutoire = mon problème est le symptôme d'un autre problème... Une maladie provient parfois d'un problème psychologique.

    - la protection / l'évitement = mon problème me protège d'un autre problème... Ex. : J'ai une jambe cassé, cela m'évite de faire face à mes responsabilités professionnelles...

    - l'excuse = mon problème me sert d'excuse pour ne pas en affronter un autre. NB : La protection c'est vis-à-vis de soi ; l'excuse c'est vis-à-vis des autres...

    - l'occupation = mon problème m'occupe l'esprit, ce qui m'évite de penser à un autre problème qui peut me sembler plus effrayant.

    - l'identité = mon problème est ma raison d'être. Il fait partie de ma vie, de mon identité et de mon image...

    - la reconnaissance = mon problème me permet d'obtenir la reconnaissance, l'affection, la compassion d'autrui.

    - la punition = mon problème me punit de ma culpabilité ressentie par rapport à une faute réelle ou imaginaire que j'aurais commise...

    - l'attestation / le challenge = mon problème (me) prouve que je suis capable de lui faire face, au cas où j'aurais des doutes...

    Si vous comptez 10 types de bénéfices secondaires au lieu de 9, c'est normal : "l'excuse" et "la protection" constituent presque un même type de bénéfice secondaire, tout comme "l'habitude" et "la loyauté".

  • Le Chemin de Vie

    1237700nzzz1nhcyzLe Chemin de Vie est une sorte de fil conducteur que tout être humain suit au cours de son existence. Nous pouvons le comparer au scénario d'un film ou au «livre de route» des ralliements actuels. Nous avançons sur ce chemin en utilisant un véhicule particulier qui est notre corps physique. Les Orientaux nous proposent une image fort intéressante pour ce véhicule et ce Chemin de Vie. Nous sommes, disent-ils, comme une charrette, une Calèche qui représente notre corps physique et qui circule sur un chemin qui symbolise la vie ou plutôt le Chemin de Vie. Voyons jusqu'où nous pouvons pousser cette image ?

         
         Le chemin sur lequel circule la Calèche est un chemin de terre. Comme tous les chemins de terre, il comporte des « nids-de-poule », des trous, des bosses, des cailloux, des ornières et des fossés de chaque côté. Les trous, les bosses et les cailloux sont les difficultés, les heurts de la vie. Les ornières sont les schémas déjà existants que nous reprenons des autres et que nous reproduisons. Les fossés, plus ou moins profonds, représentent les règles. Les limites à ne pas franchir sous peine d'accident. Ce chemin comporte parfois des virages qui empêchent la visibilité ou traverse parfois des zones de brume ou des orages. Ce sont toutes ces phases de notre vie où nous sommes « dans le brouillard », où nous avons de la difficulté à voir clair ou à pouvoir anticiper car nous ne pouvons « voir devant ».

        
          Cette Calèche est tirée par deux chevaux, un blanc (Yang) qui est à gauche et un noir (Yin) qui est à droite. Ces chevaux symbolisent les émotions, ce qui nous montre à quel point ce sont elles qui nous tirent, voire nous mènent dans la vie. La Calèche est conduite par un Cocher qui représente notre mental, notre Conscient. Elle possède quatre roues, deux devant (les bras), qui donnent la direction ou plutôt impliquent la direction donnée par le Cocher aux chevaux, et deux derrière (les jambes), qui portent et transportent la charge (elles sont d'ailleurs toujours plus grosses que celles de l'avant). À l'intérieur de la Calèche, il y a un passager que l'on ne voit pas. Il s'agit du Maître ou Guide Intérieur de chacun de nous, de notre Non-Conscient, de notre Conscience Holographique. Les chrétiens l'appellent« l'Ange Gardien ».

         Notre Calèche personnelle avance donc sur le chemin de la vie, dirigée en apparence par le Cocher. Je dis bien en apparence, car si c'est bien lui qui la conduit, c'est en fait le passager qui a donné la destination... Le Cocher, qui est notre mental, conduit donc la Calèche. De la qualité de sa vigilance et de sa conduite (ferme mais en douceur) vont dépendre la qualité et confort du voyage (existence). S'il brutalise les chevaux (émotions) et les brime, ceux-ci vont s'énerver ou s'emballer à un moment donné et risquer de conduire la Calèche à l'accident, de la même manière que nos émotions nous conduisent parfois à des actes irraisonnables voire dangereux. Si le conducteur est trop relâché, s'il manque de vigilance, l'attelage va passer dans les ornières (reproduction des schémas parentaux, par exemple) et nous suivrons alors les traces des autres, en courant le risque d'aller dans le fossé comme eux s'ils l'ont fait. De la même façon, s'il n'est pas vigilant, le Cocher ne saura pas non plus éviter les trous, les bosses, les nids-de-poule (coups, erreurs de la vie) et le voyage sera très inconfortable pour la Calèche, le Cocher et le Maître ou Guide Intérieur.


         S'il s'endort ou ne tient pas les rênes, ce seront alors les chevaux (émotions) qui dirigeront la Calèche. Si le cheval noir est le plus fort (parce que nous l'avons mieux nourri...), la Calèche va tirer à droite et être guidée par les images émo­tives maternelles. Si c'est le cheval blanc dont nous nous occupons le mieux et qui domine, la Calèche va tirer à gauche, vers les représentations émotives paternelles. Lorsque le Cocher conduit trop vite, force trop, comme nous le faisons parfois, ou si les chevaux s'emballent, c'est le fossé, l'acci­dent qui arrête plus ou moins violemment tout l'attelage et avec plus ou moins de dégâts (accidents et traumatismes).


         Parfois, une roue ou une pièce de la Calèche lâche (maladie), soit parce qu'elle était fragile, soit parce que la Calèche est passée sur trop de bosses et dans trop de trous (accumulation de comportements, d'attitudes inadéquates). Il faut alors réparer et selon la gravité de la panne, nous allons pouvoir le faire nous-mêmes (repos, cicatrisation), devoir faire appel à un dépanneur (médecine douce, naturelle) ou si c'est encore plus grave à un réparateur (médecine moderne). Mais il sera de toute façon important de ne pas nous contenter de changer la pièce. Il sera essentiel de réfléchir à la conduite du Cocher et à la manière avec laquelle nous allons chan­ger nos comportements, nos attitudes face à la vie, si nous ne voulons pas que « la panne» se reproduise.

     
         Parfois, la Calèche traverse des zones de faible visibilité, c'est-à-dire que nous ne voyons pas vraiment où nous allons. Il peut s'agir d'un simple virage. Nous pouvons le voir et nous préparer à son arrivée en anticipant. Nous devons alors ralentir, repérer dans quel sens tourne le chemin et suivre la courbe en tenant bien les chevaux (maîtriser par exemple nos émotions quand nous vivons une phase de changement voulue ou subie). Lorsqu'il s'agit de brume ou d'orage, il nous est alors plus difficile de conduire notre Calèche. Nous devons « naviguer à vue », en ralentissant l'allure et en nous fiant aux bords immédiats du chemin. Nous devons dans cette phase faire une confiance totale, pour ne pas dire « aveugle », dans le Chemin de Vie (lois naturelles, règles de la Tradition, Foi, etc.) et le Maître ou Guide Intérieur (Non-Conscient) qui a choisi ce chemin. Ce sont les phases de la vie où nous sommes perdus « dans le brouillard» et où nous ne savons plus où nous allons. Dans ces moments-là, nous ne pouvons plus faire autrement que laisser la vie nous montrer la route.


         Parfois, enfin, nous arrivons à des carrefours, des bifurcations. Si le chemin n'est pas balisé, nous ne savons pas quelle direction prendre. Le Cocher (le mental, l'intellect) peut prendre une direction au hasard. Le risque de se tromper, voire de se perdre, est grand. Plus le Cocher est sûr de lui, persuadé de tout connaître et de tout maîtriser, plus il va vouloir et penser savoir quelle direction choisir et plus le risque sera important. Nous sommes alors dans le règne de la «technocratie rationaliste », où la raison et l'intellect croient pouvoir tout résoudre. S'il est, en revanche, humble et honnête avec lui-même, il demandera quelle route prendre au passager (Maître ou Guide Intérieur). Celui-là sait où il va, il connaît la destination finale. Il pourra alors l'indiquer au Cocher, qui la prendra, à condition que ce dernier ait été capable de l'entendre. En effet, la Calèche fait parfois beaucoup de bruit en roulant, et il est nécessaire de s'arrêter pour pouvoir dialoguer avec le Maître ou Guide Intérieur. Ce sont les pauses, les retraites que nous faisons parfois pour nous retrouver, car il nous arrive de nous perdre.


         Voilà une image simple mais qui représente vraiment bien ce qu'est le Chemin de Vie. Grâce à elle nous pouvons comprendre facilement de quelle façon les choses se passent dans notre vie et ce qui peut les faire déraper.





    Le Chemin de la vie ou la Légende Personnelle
    Extrait de "dis-moi où tu as mal je te dirai pourquoi" Michel Odoul (Albin Michel)

  • Prière pour la Conscience

    846760eyx38ndt4rPrière pour la Conscience - Don Miguel Ruiz

     

    Aujourd’hui, ô Créateur de l’Univers, nous te demandons d’ouvrir notre cœur et nos yeux,

    Afin que nous puissions apprécier toutes tes créations et vivre avec toi dans l’amour éternel.

    Aide nous à te voir dans tout ce que nous percevons par nos yeux, par nos oreilles, avec notre cœur et tous nos sens.

    Puissions-nous percevoir avec des yeux d’amour, afin de te trouver où que nous allions, et de te voir dans tout ce que tu crées.

    Puissions-nous te voir dans chaque cellule de notre corps, dans chaque émotion de notre esprit, dans chaque rêve, chaque fleur, chaque personne que nous rencontrions.

    Tu ne peux te cacher de nous, car tu es partout, et nous fessons un avec toi.

    Puissions-nous être conscience de cette vérité.

    Soyons conscients de la puissance qui nous permet de créer un rêve de paradis dans lequel tout est possible. Aide nous à utiliser notre imagination pour guider le rêve de notre vie, la magie de notre création, de façon à vivre sans peur, sans colère, sans jalousie, sans être envieux.

    Donne-nous une lumière à suivre, et qu’aujourd’hui soit le jour s’achève notre quête d’amour et de bonheur. Qu’aujourd’hui se produise quelque chose d’extraordinaire qui change notre vie à jamais : que tous nos actes et nos paroles soit l’expression de la beauté de notre cœur toujours fondé sur l’amour.

    Aide nous à être pareil à toi, à aimer comme tu aimes, à partager comme tu partages, à créer un chef d’œuvre de beauté et d’amour, de même que toutes tes créations sont chef d’œuvre de beauté et d’amour. A partir d’aujourd’hui, et de façon croissante, jour après jour, aides nous à augmenter la puissance de notre amour, afin que nous créons un chef d’œuvre : notre propre vie. Aujourd’hui, ô Créateur, nous t’exprimons toutes notre gratitude et notre amour, car tu nous as donné la Vie.

    Amen.

     

    Don Miguel Ruiz

  • Petit traité de vie intérieure

    1489367s8kybzdf3p« Il est temps d'admettre que ; non seulement l’échec n'est pas un drame, mais qu'il peut bien souvent devenir un événement positif. Son premier atout, qui est loin d'être négligeable, consiste à nous remettre dans une attitude d'humilité face à la vie. Il nous contraint à accepter la vie telle qu'elle est et non pas telle que nous la voulons ou la rêvons. La vraie souffrance, comme je l'ai rappelé à la suite des philosophes stoïciens, mais aussi taoïstes, naît de notre résistance au changement, au mouvement de la vie, à son flux. Alors, réjouissons-nous quand il y a des hauts; et quand des bas se présentent, acceptons-les et faisons en sorte qu'ils nous servent de tremplin. En ce sens, je considère nos échecs comme autant de maîtres spirituels, c'est-à-dire de guides qui nous aident à rectifier notre trajectoire. Ils appartiennent à la loi de la vie, et je pense que leur présence, qui nous est naturellement désagréable sur le moment, est néanmoins indispensable à la globalité de notre parcours. Pour qu'ils soient de vrais maîtres, néanmoins nous devons transformer le regard que nous portons sur eux. Plutôt que vivre chaque échec comme un drame, entendons-le comme l’occasion d’un éveil, d’une prise de conscience. Essayons d’en tirer des leçons plutôt que de perdre notre énergie à ressasser ses causes et ses conséquences. Considérons d’emblée que la difficulté qui nous frappe n’est pas un drame, mais une occasion de réfléchir à notre vie, de l’appréhender autrement. »

    (Extrait de Petit traité de vie intérieure- Frédéric Lenoir)

  • Quel est le sens de la vie ?

    204253kfi2a9aer3Quel est le sens de la vie ?

    Parfois des personnes surgissent sur votre chemin, apparaissent dans votre vie par enchantement et vous sentez tout de suite qu'ils sont là au service d'un but, pour vous enseigner une leçon ou pour vous aider à vous libérer de quelque chose ou vous aider à devenir ce dont vous avez toujours rêvé.

    Vous ne savez jamais qui peuvent être ces personnes (probablement votre compagnon de chambre, votre voisin, votre collègue, un ami de longue date que vous aviez perdu de vue, votre amoureux ou même un individu complètement étranger), mais quand cela arrive, au premier coup d'œil, vous savez à ce moment qu'ils affecteront profondément votre vie d'une manière ou d'une autre.

    Et parfois les choses qui vous arrivent peuvent, au début, sembler horribles, douloureuses et injustes.

    Mais avec du recul, vous constatez que sans avoir surmonté ces obstacles vous n'auriez jamais réalisé votre potentiel, découvert votre force de caractère, révéler la puissance de votre volonté, votre grandeur de cœur.

    Toute chose a une raison d'être.

    Il n’y a pas de hasard.

    La maladie, les accidents, l'amour, les moments les plus beaux de bonheur ou la stupidité la plus grande tous se produisent dans votre vie pour tester les limites de votre âme.

    Sans ces épreuves, quelle que soit leur nature, la vie serait comme une route lisse, droite, horizontale à perte de vue.

    Elle serait certainement sûre et confortable mais au final pesante et sans aucun sens.

    Les personnes que vous rencontrez affectent votre vie et les succès et les échecs que vous vivez vous aident à créer la personne que vous êtes et ce que vous devenez.

    Même les mauvaises expériences vous sont bénéfiques et en réalité, elles sont probablement les plus intenses et les plus cruciales.

    Si quelqu'un vous blesse, vous trahit, ou brise votre cœur, soyez reconnaissant de vous avoir aidé à apprendre ce que doit être la confiance et l'importance d'être prudent quand vous ouvrez votre cœur.

    Si quelqu'un vous aime, aimez-le sans réserve non seulement parce qu'il vous aime mais parce que d'une certaine manière, il vous apprend à aimer et à savoir comment ouvrir votre cœur et et vos yeux aux choses de la vie.

    Vivez le moment présent.

    Appréciez chaque moment de votre vie et tirez de ces moments tout que vous pouvez parce que probablement vous ne vivrez plus jamais.

    Parlez aux personnes à qui vous n'avez jamais parlé jusqu'à présent et écoutez-les réellement.

    Lâchez prise, embrassez tous les visages de l'amour, explorez votre propre liberté et élevez vos points de vue sur les choses de la vie.

    Redressez-vous et tenez votre tête droite parce que c'est votre droit.

    Dites-vous que vous êtes quelqu'un d'exceptionnel et croyez en vous-même; si vous ne croyez pas en vous-même, il sera difficile aux autres de croire en vous. Vous pouvez faire de votre vie tout ce que vous désirez.

    Imaginez votre propre vie puis sortez chez vous et vivez la entièrement, sans aucun regret.

    Si vous aimez quelqu'un, dites-le lui parce que nul ne sait ce que sera fait demain.

    Et apprenez une leçon sur la vie chaque jour que vous vivez.

    C'est cela le sens de la vie.

    Auteur anonyme

  • Les différences

    438834mx3mmrdv7h« En soi, les différences ne sont ni bonnes, ni mauvaises. Et elles ne sont pas nécessairement porteuses de divisions. Ce qui importe, c’est comment l’on vit avec ces différences. Au sein même d’une personne coexistent parfois de grandes différences d’émotions et d’idées. Les contradictions sont nombreuses et les états d’âme changeants entre la jeunesse et l’âge mur, parfois même entre le début et la fin de la journée. Ces contradictions sont justement là pour nous aider à mieux mesurer la vraie valeur du monde, à nous rendre plus mûrs et perspicaces dans notre relation à la vie du monde. »

    Le Dalaï-Lama

  • Comment jouer la petite musique de la joie ?

    437715wiv6uyd45rComment jouer la petite musique de la joie ?
    En jouant sur les notes suivantes : positiver, dédramatiser, prendre du bon côté, garder l'espoir, rester stoïque, s'attarder la face ensoleillée des êtres et des événements, poétiser aussi.
    Ne pas laisser prise à la complication, qui éveille tout ce qui est trouble, obscur ou embrouillé. C'est quand nous compliquons les choses que nous désertons la joie. »
    Dans le grand livre de ta vie, ouvre un chapitre intitulé : » Petits événements de rien du tout qui changent la vie du tout au tout ».
    Fais collection de silences d'or. Ces instants précieux et chatoyants qui dansent comme des poussières de soleil et dont aucune parole ne saurait atteindre l'absolue plénitude.
    François Garagnon

  • Chaque fois que quelqu'un croise notre route

    3052368aiqmhf4h1y"Chaque fois que quelqu'un croise notre route,

    il porte un message pour nous.

     Les rencontres de pur hasard n'existent pas.

    C'est notre manière de répondre à ces rencontres

    qui détermine si nous recevrons ou non le message.

    Si, lorsque nous parlons avec celui qui croise notre chemin,

    nous ne voyons pas le message qui se rapporte à nos questions,

    cela ne signifie pas qu'il n'y avait pas de messsage.

     Seulement que nous ne l'avons pas découvert."


     

    James Redfield  -  La prophétie des Andes

  • La plus importante journée de ta vie

    Aujourd'hui est la plus importante744098t30axnvlt9
    journée de ta vie,
    puisque hier
    ne t'appartient déjà plus et que
    demain n'est encore qu'une illusion.

    Alors, rappelle-toi bien ceci :
    Si aujourd'hui est vécu,
    chaque hier se transformera
    en heureux souvenir,
    et chaque demain se transformera
    en une vision remplie d'espoir


    Auteur inconnu